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Quelques vacances bien méritées après de longs écrits épouvantables et un grand renouveau en musique. J'ai trouvé LE musicien, plein de candeur, de doutes et de feeling... Celui qui me manquait depuis que mon pianiste préféré nous quittait trop tôt.

Entre roman quelque peu tordu et histoires d'enfants encore plus terrifiantes, la muse de la création et celle de la production finale (y en a t-il une... bah, je peux tout de même l'inventer, c'est tout de même mon métier ;) ) me laissent, paraît-il, quelques semaines de repos.

Mes neurones sont heureux.

Mon jardin retenait sa respiration, le paysage s'était immobilisé dans l'attente que je l'observe à nouveau...

Ah, s'ils avaient su tous les deux que je les avais à l'oeil en toute discrétion, ils auraient rayonné avant les premiers rayons du printemps!